Les 5 bonnes questions à se poser avant de faire son alyah ?  

Partir en Israël est un projet aussi ambitieux que passionnant qui nécessite un temps de réflexion. L’alyah se prépare. Une préparation faite d’un questionnement individuel et familial. Même si pour chaque olé hadach, ce questionnement personnel voire intime, certaines questions restent récurrentes quels que soient leurs origines, leurs niveaux de pratique religieuse ou leurs motivations. Tour d’horizon des questions qui reviennent le plus souvent.

POURQUOI SOUHAITEZ-VOUS VOUS INSTALLER EN ISRAËL ?

Quand on interroge les olims hadachims ou les candidats à l’alya, aucun n’avance les mêmes motivations : La montée de l’antisémitisme, l’envie de vivre son judaïsme au grand jour, le désir de donner une réalité à un idéal sioniste, le besoin de changer de décor. Attention, pour nous, aucune motivation de l’alyah n’est bonne ou mauvaise. Il faut juste que vous ayez conscience des causes de votre départ. Comprendre ce qui vous pousse à partir est la première étape de votre alyah car ces causes vont vous accompagner. Soyez au clair avec elles. Plus vos motivations sont profondes, assumées, mieux votre alya sera réussie.

 DANS QUELLE VILLE ALLEZ-VOUS POSEZ VOS VALISES ?

Plusieurs paramètres doivent déterminer votre choix. Les prix de l’immobilier, le tissu scolaire et éducatif pour vos enfants, la présence de membres de votre famille, vos amis, le potentiel d’emploi etc… Mais attention, ne regardez pas seulement les villes plébiscitées par les olims de France (Hadera, Netanya, Tel Aviv, Ashdod, Jérusalem), il existe de nouvelles pistes. Harish, Karmiel, Tibériade proposent des programmes sur-mesure pour attirer des olims de France. Renseignez-vous.

 

ETES-VOUS PRÊT A CHANGER DE VIE ?

S’installer en Israël c’est changer de pays, de langue, de décor, de travail, de cadre de vie, de cercle amical et donc de vie. Ce point est essentiel.  Réfléchir à cette question est essentiel. Réussir son alyah c’est prendre conscience que tout va changer. Croire que s’installer en Israel c’est juste modifier le contexte et le décor de sa vie est une erreur. Faire son alyah c’est TOUT changer, se frotter à des nouveaux codes, se confronter à un nouvel espace-temps, découvrir une nouvelle mentalité etc…

 

QUEL MÉTIER ALLEZ-VOUS EXERCER EN ISRAËL ?

Votre métier est-il exportable en Israël ? comment allez-vous l’exercer ? quelles sont les pistes de reconversion professionnelles que vous pouvez explorer ? Les questions autour la parnassa sont essentielles pour la réussite de l’Alya. En effet, la plupart de ceux qui sont contraints de revenir en France après l’alya avance la difficulté financière comme principale raison de cet échec. Si vous exercez une profession réglementée, pensez à vous renseigner pour commencer en amont les démarches de reconnaissance des diplômes. Le ministère de l’Intégration finance par ailleurs de nombreuses formations de reconversion professionnelle.

 

AVEC QUEL ORGANISME PARTIR ?

L’alyah est un projet essentiel dans votre vie. Il y aura un avant et un après. Pour le réussir au mieux, demandez-vous qui sera le meilleur partenaire de cette aventure. Avant, pendant et après votre départ. Depuis plus de 25 ans, le Keren Layedidout contribue à l’alya de plusieurs milliers d’olims. Mais au-delà de l’aide au départ (billets d’avions et aide à l’intégration), le Keren Layedidout a mis au point un véritable programme d’accompagnement. En mettant à disposition des candidats à l’alya nos contacts et nos réseaux, nous n’avons qu’un seul but : vous permettre de réussir.

By | 2019-02-12T12:21:40+01:00 février 12th, 2019|Dossiers, Intégration, Uncategorized|0 Comments